lundi 11 février 2008

Snetaa un jour, Snetaa toujours?

0u la renaissance du Snetaa après la bévue du protocole sur les bacs pro en 3 ANS?

Lu sur café pédagogique.net

Bivalence, temps de service flexible pour les enseignants, horaires–élèves définis en partie localement, renforcement du poids d’un chef d’établissement autocrate chargé de distribuer blâmes et récompenses au gré de l’évaluation au mérite... tout y est. Tout, sauf la revalorisation des enseignants" estime le Snes qui voit dans le rapport Pochard "une vraie provocation". Cette position est partagée par le Snuep, le Snep, l'Unsen Cgt, le SnFOlc, le Snetaa, Sud-Education ainsi que par le Snalc et le Sncl, classés à droite. Ces syndicats ont signé le 8 février déclaration estimant que la rapport "ne peut servir de base à une négociation".

 

Publié le : 8 février 2008

 

Consulté le site du snetaa ,qui vient de se réveiller sur l'appel public en faveur de la défense de la laïcité  nous en apprend rien de plus!

Il faudra aller sur le site du SNES pour découvrir le précieux document;

POINTS de vue ne résiste pas au plaisir de le porter à votre connaissance

 

Communiqué de presse des organisations syndicales de second degré

SNALC, SNETAA, SNCL-FAEN, SNFOLC, SNES-FSU, UNSEN-CGT, SNEP, SUD-EDUCATION, SNUEP

Attachés à une amélioration du système éducatif, une relance de la démocratisation, pour la réussite de tous les jeunes, les organisations syndicales du second degré soussignées expriment leur volonté d’une véritable amélioration et revalorisation des métiers de l’éducation.

Le rapport Pochard, qui se fixait officiellement cet objectif, en se plaçant d’emblée dans le cadre d’une logique budgétaire contrainte, d’une aggravation des conditions de travail et de la charge de travail, d’une individualisation des rémunérations et carrières, d’une mise en concurrence des personnels et des établissements, d’une déréglementation des obligations de service refusée massivement par la profession l’an dernier, ne peut servir de basse à une négociation.

C’est pourquoi les organisations syndicales SNALC, SNETAA, SNCL-FAEN, SNFOLC, SNES-FSU, UNSEN-CGT, SNEP, SUD-EDUCATION, SNUEP signifient au ministre de l’Education Nationale leur exigence d’ouverture de véritables discussions pour que des réponses soient apportées à la prise en compte des réalités du métier et que soit revalorisé ce dernier dans le respect du statut.

Elles appellent leurs organisations au niveau local à se rencontrer pour maintenir la mobilisation pendant la période des congés de février avec des initiatives diversifiées.

Elles conviennent dès maintenant de se retrouver le 20 février pour envisager des suites communes.

Paris, 6 février 2008